Les petits et les grands
L.
Je suis tout à fait d’accord avec toi par rapport à ton écrit s’intitulant "la cour de récré des grands".
Et ils le sont peut-être davantage que lorsqu’ils étaient enfants, ils sont plus de moyens avec les réseaux sociaux, tout comme la nouvelle génération d’ailleurs.
Le problème vient peut-être de là.
Auparavant, petits ils nous excluaient, nous raillaient mais aujourd’hui cela devient plus du harcèlement sociale, des injures et diverses humiliations publics. Les conséquences sont sans doute plus virulentes.
Et bien entendu, les adultes ont pris le même chemin.
Cependant je pense que nous les femmes sont encore plus mauvaises, beaucoup plus hypocrites entre nous, enfin pour celles qui sont concernées.
Les hommes ils mettent les choses au point avec un coup de gueule ou bien un coup de point mais ils n’enveniment pas autant les choses comme pourrait le faire la gente féminine.
Enfin c’est mon point de vue.
Pour ce qui est du reste de tes derniers écrits, on ressent une évidente souffrance qui revient encore.
Finalement, on apprend continuellement que le passé ne reste pas toujours derrière et qu’il faut parfois remettre les chose à plat pour enfin s’en débarrassé. Tu as eu beaucoup de nouvelles choses avec ta petite famille qui s’est construit que tes douleurs passées ont été enfuie sous ta joie de devenir une maman. Maintenant que tu l’es, le reste refait surface malheureusement.
Peut-être devrais-tu tout extérioriser avec une personne compétente.
Mais je doute que tu puisses vivre sans, ce sont des blessures qui font partie de la personne que tu es à présent. Je pense qu’il faut apprendre à faire des concessions, ta vie ne sera jamais toute belle à cause de ton passé, mais cela te fera davantage apprécier ce que tu désires et que tu as.
Et puis après, je ne sais pas comment on s’en débarrasse, ce ne sont que des hypothèses, des théories, la pratique ne suit peut-être pas, mais je l’espère.
On vérifiera avec le temps.
Prends soin de toi Malika.
L. , spleen, mais n’étant plus dans le même état je préfère rester moi, L.