Avoir le temps d’écrire, ici ou ailleurs. De moi ou d’autres choses. Avoir le temps de lire, de respirer, de vivre… J’aimerais avoir le temps sans cesse de faire ce qu’il me plait, mais le temps est un trésor.

En mode "Métro-Boulot-Dodo". Courir, me ruiner le moral pour un taf qui ne me plait pas, avec une majorité de personnes qui ne me plaisent pas. Je dis une majorité parce que certains collègues sortent un peu du lot, mais je sais aussi que ma naïveté me tuera, que j’accorde toujours trop facilement et trop bêtement ma confiance. Au boulot, il faut être hypocrite. Il faut sourire et saluer Toutes ces personnes qu’on déteste.

A commencer par ce maudit "Patron". L’Associé du Diable. Un sombre connard, manipulateur, opportuniste, injuste et inégale dans les faveurs qu’il octroie. Un taré bipolaire qui applique à merveille la théorie du "Diviser pour mieux régner".

Il lui faut toujours au minimum un souffre douleur. On sait qu’on y passe tous. Tous sauf ces deux espèces de lécheuses de cul de la compta. Elles, elles sont protégées de tout, elles nous regardent de haut, elles n’hésitent pas à fourrer leurs nezs dans nos affaires, à dénoncer tout et n’importe quoi pour entretenir leurs places de privilégiées. Elles, elles auront toujours leurs congés aux dates souhaitées, elles ne prennent même pas la peine de s’entretenir avec ce trou du cul pour les considérer comme acceptés. Elles les notent et se foutent pas mal de la vie des autres. Parmi les souffres douleur, certains sont plus maltraités que d’autres. Ce mec est fou !

Parfois, je me demande si c’est partout pareil. Si tous les patrons prennent un plaisir malsain à te détruire psychologiquement pour te reprocher après ton manque de rigueur. Il peut se la carer où je pense, sa put*** (faut que j’arrête de dire ce mot ! Ma fille parle maintenant, et elle trouve ce mot et nos réactions qui s’y accompagnent assez amusants...) de rigueur ! Comment rester rigoureux quand rien ne va jamais dans ce que l’on fait ? Il demande blanc et l’instant d’après, il demande noir en nous donnant l’impression qu’on est que des cons. Il nous regarde avec cet air de médisance et de pitié dans lequel on peut facilement lire "Pauvre conne !"

Bref, le boulot me bouffe le moral, et ça à de l’impact sur tous les aspects de ma vie…

Bien à Vous.

Malika