Malika Intimity...

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janvier 2015

Reprendre ici ?

Parfois, j'ai envie de reprendre mon récit ici. Parce que mon JI, c'est d'abord CE journal... (...)

Là où la renaissance me ramène...

Et voilà. Je tâte le terrain. Doucement. Je reviens avec mes soucis. Le Phœnix a été ma bouée de secours. Il m'a permis d'écrire encore tout en regagnant à mon aise la confiance que j'avais perdue. Mais mon journal, c'est lui, c'est toi. Mon identité, c'est Malika. Malika, c'est toute une histoire. C'est celle que je suis vraiment au fond de moi. Alors je reviens ici avec mon bagage, avec les archives de ces cinq derniers mois pour reprendre mon histoire. http://renaissanceduphoenix.journalintime.com Merci ! :) Malika / Le Phœnix (...)

Reprendre les choses en main ? ROCKY BALBOA is in the place ! Mouhahaha !

Ça me fait presque drôle de réécrire ici. Dans CE journal. J'avais tellement de mal à digérer sa fermeture "inopinée" ! Et donc me revoilà, libre, soulagée, apaisée de cette "identité" sous laquelle je m'étais cachée. Après mardi, après la rechute, après les larmes, j'ai recommencé à me sentir dépassée par les événements. Complètement dépassée par mes émotions, par mes sentiments, par ce torrent de lave bouillonnante en moi. Mercredi, après être allée rechercher la petite à l'école à midi, j'ai tenté de la mettre à la sieste. Elle ne voulait pas. Plus elle (...)

La famille, là où je ne l'attendais plus.

Je vous l'ai dit en tant que Phœnix, j'ai quitté Facebook la nuit de la Saint Sylvestre. J'avais préalablement envoyé un message privé à chacun de mes contacts afin de leur faire part de mon adresse email et de cette manière, laisser à chacun le choix de reprendre contact avec moi, ou pas. Suite à ce message, l'une de mes "cousines" éloignées - la fille du cousin de mon père - dont je ne savais que ce que Facebook me permettait de savoir a (re)pris contact avec moi. Cela faisait plus de 6 ans que l'on se suivait sur ce site sans jamais se rencontrer. 6 ans qu'on se parlait, qu'on (...)

Cette bulle numérique.

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire. Ce n'est pas un jour "extraordinaire" en tant que tel, selon moi. Je n'ai jamais été habituée à de grandes fêtes, j'ai même plus souvent été habituée à rien du tout qu'à quoi que ce soit... J'ai 26 ans. Ça me déprime plus que ça m'éclate, pour dire vrai ! 26 ans ! Merde ! Tout va si vite ! Mais aujourd'hui, plus que tous les précédents 14 janvier de mon existence, quelque chose m'a frappé : les gens ne vivent plus, les gens n'aiment plus, les gens ne ressentent plus, c'est à peine si les gens ont encore les yeux ouverts. Je m'explique : (...)

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Je voudrais que cet écrit soit à la hauteur de ce que j'en attend. Ça fait des mois. Des mois que ça me ronge. Bien que ça va mieux, ça s'atténue, ça s'évapore. Les choses reprennent doucement leur cours pendant que l'omniprésence de ces émotions se dilue au gré du temps. Mais l'écho résonne encore. Chaque jour. Parfois plus, parfois moins. De plus en plus, plus ou moins. Une pensée. Un souvenir, puis un sourire perdu pour le chasser. Pour te chasser. Je ne veux rien réveiller. Je ne veux rien revivre. Je ne veux rien briser. Je ne veux rien, en fait. Pourtant j'ai, depuis le (...)

F**k les coïncidences !

J'avais commencé à lui écrire, ENCORE ! Mais dans l'idée cette fois de - peut-être - vraiment lui envoyer. Un message - une lettre - "différent". Un texte dans lequel j'éviterais - peut-être, parce que ce n'est pas encore fini... - de parler de "regret", d'"envie" ou même de "sentiments".. (D'ailleurs, j'avais utilisé le terme "sentiments" et je l'ai remplacé par "émotions"). J'ai eu l'envie d'écrire ça pour clôturer l'histoire une fois pour toutes. Parce que tout ce cinéma s'atténue, au fil des semaines, mais qu'il reste tout de même quotidiennement dans mes pensées. (...)